Préparation de l'anko

Dans les pâtisseries japonais , l’Anko est presque indispensable. Il est utilisé comme la garniture ou l’enveloppe.

C’est long à faire , mais ce n’est pas compliqué .
On peut le conserver longtemps dans le congélateur.



Ichigo Daïfuku fourré d'anko et une fraise



Ingrédients

250g d’haricots Azuki 

150- 200g de sucre 

une pincée de sel



Préparation :

Mettre les haricots Azuki à bouillir dans une casserole avec 3 à 4 fois leur volume d'eau.

Il n'est pas nécessaire des faire tremper dans l'eau depuis la veille, mais cela fonctionne aussi. A la première ébullition , jeter l'eau de cuisson et rajouter de l'eau pour couvrir les haricots.




A répéter plusieurs fois . Pendant cette opération écumer pour enlever la impureté.
Continuer la cuisson jusqu'à ce que les haricots s'écrasent facilement sous 
le doigt.





Rajouter de l'eau froide quand le niveau diminue trop (appelée « bikkuri mizu / eau surprise » en japonais). Il faut le faire plusieurs fois.


Ajouter doucement le sucre en mélangeant avec une cuillère en bois. Cette opération diminue la quantité d'eau présente dans Le tsubuan( pâte d’haricots rouges avec les graines ). Quand le mélange prend la consistance d'une soupe épaisse (suivant la consistance désirée), Ajouter une pince de sel et couper le feu.

Le tsubuan durcit un peu en refroidissant.

En arrêtant à ce moment ou obtient un tsubuan un peu mou. On peut continuer le cuire un peu plus pour une version plus solide.




Les Ohagis confectionnés lors de l'atelier par les participants.

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